RP d'Yrheleg

[Alucard]

en fait a la base j'etait plutot partant pour rentrer maison, mais comme le mj le dit, ca pourrai etre interressant.
allons donc voir ces joyeuses lumieres.
ou du moins approchons nous.

[ettelcar]

allons donc voir ces joyeuses lumieres.
ou du moins approchons nous.

A la fois, ce n'est pas à côté non plus... Tu en aurais pour deux heures de marche environ...
Et comme la forêt est assez dense, tu n'en sauras pas plus avant d'être sur place...

Tu te mets donc en route.

Alors que tu commence à t'approcher un peu, tu entends au loin comme une douce mélopée. Un bruissement te fait réagir et tu entre-aperçois passer au loin devant deux êtres grands et pâles comme la neige qui montent des licornes. Ils ne semblent pas du tout hostiles, mais ne t'ont pas remarqué. Toutefois, ils le feront sûrement au moindre de tes mouvements.

[Alucard]

je me montre, en ayant l'air le moins inamical possible.
pas envie de me battre moi.
"bonjour cher...heu...cousin?"


quand au blob qui me sert de chimere je sais po si je veux vraiment l'invoquer au dehors de la tour moi...

[ettelcar]

Les deux êtres vus de plus près sont extremement élégants. Tu n'en a jamais vu d'aussi beaux et au visage aussi fin de toute ta vie.
Il mesurent dans les 2m et leur teinte est d'un blanc pur et éclatant.
Leurs vêtement bleux-glace sont brodés d'un matériau plus fin que la soie.
Les deux licornes qu'ils montent à cru ont la crinière et la queue tressées.

Celui de droite t'invite, d'une voie douce et mélodieuse :

Bonjour voyageur, vous semblez épuisé par la route. Souhaitez-vous que nous vous conduisions à la citadelle afin que vous vous reposiez et vous restauriez? Nos montures sont bien assez robustes pour que nous deux montions sur la même.

Alliant la parole au geste, il descend de licorne, et fait s'avancer celle-ci vers toi.

La licorne qui te regarde à présent est calme et son regard est appaisant, alors que l'autre licorne, montée par l'autre elfe, a comme une lueur de folie dans l'oeil et le corps parcouru de légers frissons.

[Alucard]

Les deux êtres vus de plus près sont extremement élégants. Tu n'en a jamais vu d'aussi beaux et au visage aussi fin de toute ta vie.
Il mesurent dans les 2m et leur teinte est d'un blanc pur et éclatant.
Leurs vêtement bleux-glace sont brodés d'un matériau plus fin que la soie.

oue je fait tache quoi...


"c'est fort aimable de m'offrir l'hospitalité, je suis effectivement vide et un peu de repos ne me ferais pas de mal"

[ettelcar]

tu montes sur la licorne et tu les suis?

[Alucard]

voui, enfin, j'essaye

toujours pas achete la comp "equitation" moi

[ettelcar]

Tu avances à travers la forêt en suivant la licorne des deux êtres.

Le chemin qu'ils empruntent (non traçé) n'est pas tout droit comme tu aurais pu le penser en arrivant, mais légèrement sinueux, avec juste ce qu'il faut de détours pour que tu t'y perdes.

Vous arivez à la citadelle.


"Nous avons fait quelques détours afin d'éviter de croiser quelque bête sauvage, mais vous allez à présent pouvoir vous reposer. "

Des arbres immensent se serrent et s'entremêlent au point de former un véritable rempart que surplombent de larges branches où des fenêtres laissent passer la lumière de l'intérieur. Vous montez sur la grande racine qui mène à un vaste noeud du tronc de l'un d'eux. En approchant, tu t'aperçois que le bois qui se trouve à la place du noeud est en réalité légèrement transparent et que les gens vont et viennent à travers sans se soucier de sa présence.
Tous ceux que tu croisent sont de la même race que les deux autres.

[Alucard]

avant de rentrer dans le noeud, je demande quelques instants a mes hotes, leur explique que j'ai laisse un serviteur derriere moi et que je voudrais verifier son etat et savoir s'il a besoin d'aide.
je tente d'etablir la communication avec sam.

donc, sam t'as besoin d'aide pour sortir du chateau ou tu fais du tourisme?

cela afin d'eviter de froisser mes hotes en imposant un invite, je prefere effectuer mes bidouillage hors de leur cite.
(j'Ai pas ete tres malin et j'aurais du y penser avant...)

[ettelcar]

Et bien, à priori, depuis le temps écoulé, j'espère pour lui qu'il n'est pas toujours en train d'attendre devant son vitrail brisé... enfin... il ne devrait plus y être... mais l'ennui est qu'à ce moment précis, je ne sais pas vraiment où il est et comment il réagit...

[Alucard]

oue bon tant pi alors.
je rentre dans le noeuds pour voir a quoi ca ressemble dedans

[ettelcar]

Tu rentres dans un édifice qui laisseraient toutes penaudes les plus belles catédrales, tant ses voutes et arcs sont nombreux, s'entremêlent majestueusement, et tourbillonnent dans l'air.
Des vitraux séparent en hauteur l'entrée d'autres salles et des couloirs partent en tous sens, laissant supposer l'immensité de l'édifice.

Tu remarques en entrant, que quelques unes des créatures, ne semblent pas avoir le même charisme irrésistible que les deux que tu as rencontrées. Leur face ne diffère pas tellement mais ressemble un peu à des museaux de renards. Aucun ne porte d'armure ou d'épée. Les seules armes que certains portent sont des arcs de bois ou d'os et quelques lances ou couteaux en os.

Tu as tout de même l'impression que bon nombres des habitants d'ici tentent de garder une distance raisonable par rapport à toi. Aucun, alors que le passage est assez important, ne t'as encore même frôlé, certains vont même jusqu'à faire un détour pour passer à plus de trois mètres de toi.

Ton guide t'invites, tandis que l'autre s'en va avec les licornes:
"Si vous le souhaitez, je peux vous conduire à une chambre. Vous y serez plus à l'aise qu'au milieu de la foule."

[Alucard]

je fait remarquer a mon guide l'attitude etrange des passants, et lui en demande la raison.
je lui demande aussi si l'hostipalité dont il ont fait preuve est totalement desinteressée, en m'excusant d'avance si ma question le choque.

[ettelcar]

Il semble un peu gêné par la queston, mais répond :

C'est que, voyez-vous, notre peuple est très sujet à l'empathie. Et étant donné les dures épreuves que vous semblez avoir traversé récemment, peu d'entre nous ont la faculté d'endurer un tel champ d'émotions de trop près.
Quand à notre hospitalité, c'est sûrement que nous souffrons également de voir des voyageurs fatigués par leur dure route. Avec notre empathie, il vaut mieux pour nous que tous ceux que nous croisons soient au mieux de leur forme.

[Alucard]

"c'est donc cela? je n'avais jamais rencontre de peuple a ce point sensible.
je ne cherche pas a imposer si violemment ma presence, peut-etre effectivement qu'avec un peu de repos, j'agresserai moins votre empathie. pouvez vous me conduire a cette chambre dont vous m'avez parlé?"

sur le chemin:

"j'aimerai en savoir un peu plus sur votre cité, je vois qu'elle se compose principalement de deux population, pouvez-vous m'eclairer a ce sujet?"